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  • : Le blog de Sri Jaitun Lishesha Kahn - SIMLAND
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 22:56
Le score d'audience de l'émission "Notre Histoire" sur SimTimes m'a permis d'être nommé Vice-Président de Simtimes (une place que je visais mais sans trop de conviction).



MaxCC, le Président, semble s'être lancé dans une aventure difficile (la création d'un média d'information) après avoir travaillé chez CanalSims.

Plein de projets et du boulot sur les bras, l'aventure SimTimes va sans doute être une des collaborations les plus enrichissantes depuis mon arrivée et avec ce qui va suivre.

En effet, mon poste de Vice-Président est une aubaine: c'est un secteur sûr (relativement) et cette place me donne une vue sur bcp d'évènements à Simland mais me donne notamment une certaine notoriété qui n'est pas évident d'avoir de soi-même.

MaxCC va être je pense un collaborateur rigoureux mais surtout un patron intraitable. Cette fonction de Vice-Président va être particulièrement formatrice.

A suivre ! ...
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22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 20:21

Chers téléspectateurs, bonsoir et merci de nous rejoindre pour ce premier numéro de « Notre Histoire » ...

 

 

Pour découvrir ensemble les merveilles du passé de Simland, j’ai fait appel à de nombreux spécialistes : historiens biensûr mais journalistes aussi, ou écrivains. J’espère que ce premier numéro vous passionnera comme il m’a passionné tout au long de sa réalisation et je vous souhaite un bon voyage… Et oui, un bon voyage à Simland, mais : à travers le temps !


 


 

PRESENTE

 

 

Une émission proposée et présentée par Jaitun Lishesha Kahn

 

 


NOTRE HISTOIRE,

 

AUX SOURCES DE L’HOMME

Peuplé à partir de -30.000 avant Jésus-Christ, Simland fut le foyer de nombreuses cultures indiennes et aborigènes mais aussi le berceau de civilisations prospères et historiques.

Entre préhistoire et antiquité, ce soir notre Histoire : aux sources de l’Homme.

 

 

Les traces préhistoriques…

         Les premiers habitants du Simland…

                   Les prémices d’une civilisation…

                            Les premiers Simérindiens…

                                      La première civilisation de Simland…

 

Merci de nous rejoindre ce soir : notre Histoire, aux sources de l’Homme ! ...



LES TRACES PREHISTORIQUES : DES PEUPLES EN MIGRATIONS.

 -30.000 avant Jésus-Christ

Le site le plus ancien de la présence humaine de Simland se situe dans le Bassin de Simland, où les traces préhistoriques remontent aux passages répétés des peuplades asiatiques parcourant Simland pour atteindre l’Amérique du Nord puis l’Amérique du Sud.



A gauche, les différents hominidés présents au cours de l'histoire de Simland : tout d’abord Néanderthal dont la majorité des populations ne passera que quelques siècles dans les terres Simlandaises. Puis l’Homme de Cro-magnon qui marquera les premières installations nomades localisées dans les grottes et les plaines. Et enfin, Sapiens Sapiens (l’Homme moderne) qui ouvrira la véritable installation de l’Homme dans le Simland, vers -20.000 avant Jésus-Christ.

 

Certaines parties de cette population en mouvement s’installe sur les territoires de Simland et les différents sites archéologiques démonstratifs de cette installation progressive (comme les grottes et les peintures rupestres) se multiplent vers -25.000 avant Jésus-Christ pour laisser place vers -20.000 avant Jésus-Christ aux premières tribus sémi-sédentaires vers le Nord du Bassin de Simland.


 

LES PREMIERS HABITANTS DE SIMLAND : LES PRE-SIMLANDAIS

-25.000 avant Jésus-Christ

Les populations vont progressivement émigrer vers le Nord, dans la région du Middle West puis du Continental State. Les tribus nomades vont commencer à s’installer régulièrement dans des villages temporaires où la sédentarisation ne sera que partielle, les peuplades se déplaçant selon la douceur des saisons.

Les sites archéologiques du Middle West mais surtout ceux du Continental State plus à l’Est, mélangent certaines spécificités de la culture amérindienne contemporaine et des originalités totalement locales : les tribus et les éthnies de cette période de la préhistoire Simlandaise représentent une première ébauche de culture simlandaise mais la reconstitution philogénétique des ossements indiquent une parenté directe avec les Amérindiens : les premiers simlandais ne sont donc pas des éthnies réellement locales.


 

 

Professeur Michel Yatzen, Muséum d’Histoire :

« Contrairement  à ce que prétendent les mouvements nationalistes ou racistes des peuples indigènes de Simland (en proie à une crise identitaire depuis l’arrivée des colons et la constitution de Simland contemporain), les indiens de la préhistoire simlandaise (en tout cas les peuples du Bassin de Simland et du Continental State) n’était pas des « simérindiens » : la plupart des tribus étaient originaires de l’Asie pour les plus anciennes mais surtout de l’Amérique du Nord, avec l’arrivée de certains Amérindiens qui quittent le territoire actuel du Canada pour combler une surpopulation et un manque de terre. Les présimlandais, même s’ils sont restés au Simland par la suite, constituent donc plutôt une « migration amérindienne » qu’une culture proporement locale… »




 

 

A gauche, une peinture rupestre dans le Continental State : la présence de bisons (ici représentés) n’étaient pas connue à Simland. Pourtant cette grotte abrite de nombreuses reproductions animales typiquement américaines.

 




La plupart de ces « présimlandais », groupes de chasseurs et de cueilleurs relativement nomades s’installent ans la vallée d’Avalon, malgré la rigueur du climat où les enregistrements de température, calculés sur des souches sédimentaires enfouies depuis plusieurs millénaires et indiquant un type météorologique proche de la Scandinavie ou de la Sibérie actuelles.

A partir de  -20.000/-10.000 avant Jésus-Christ, les indiens présimlandais s’étendent culturellement et techniquement dans une grande partie de Simland avec l’usage des outils, les premières traces de travail des métaux (cuivre) et quelques connaissances en agriculture, marquant la sédentarisation et le développement des arts et l’apparation de liens d’échange qui perdureront jusqu’à l’arrivée des Européens. Cependant, la « culture » présimlandaise ne connaît pas d’essor particulier.  On compte aujourd’hui 20.000 amérindiens sur le Bassin de Simland qui vivent d’après les mêmes coutumes que leurs ancêtres.



 

A droite, cette répresentation d’une tapisserie typiquement « présimlandaise » (VIIIème siècle, Continental State)permet d’

observer clairement la mixité culturelle entre les tribus « présimlandaises » d’aujourd’hui et les tribus amérindiennes des Etats-Unis.

 

 



LES PREMICES D’UNE CIVILISATION : LE CULTE DE LA DIVINITE MAXIS.

-15.000 avant Jésus-Christ

Avec le développement des tribus présimlandaises et leur sédentarisation,  apparaît vers -15.000 avant Jésus-Christ le culte de la divinité Maxis organisé fièrement par des populations aborigènes autochtones qui semblent descendre des premières excursions de Néanderthal mais dont la parenté est évidente avec les éthnies indonésiennes d’Asie du Sud-Est. Installée à Maxisland, cette culture et ses modes de vie nous très mal connues malgré les nombreuses relations qu’elle entretenait avec les présimlandais au Sud et la présence de certains sites d’exception de Maxisland.


 

 

 A gauche, un « Massimo », représentation miniature de la divinité  Maxis, « inventeur du Monde », art Maxis (-15.000). Le culte semblait très démonstratif et organisé autour du culte du feu et du soleil mais aussi de la joie et de la chance : en effet, les peuples Maxis pensaient que porter un bijou à l’effigie de leur dieu leur permettaient de… gagner aux jeux !

 



Paul Meiers, journaliste historique, spécialiste des traditions orales :

« Bien qu’elle semble historiquement plus ancienne, l’éthnie de Maxisland ne semble pas s’être étendue plus loin que ce qui nous en est encore connue. Effectivement, les traditions locales dans la plupart des tribus rapporte que la superstition des habitants, toujours actuelle, donnait l’impression d’une peuplade pacifique mais les contes et surtout les représentations festives laissent penser qu’ils étaient craintifs. Quand on écoute les chants destinés à Maxis aux débuts des moissons, on peut découvrir des croyances étonnantes (comme celle de l’existence de sortes d’esprits ou de virus capables de posséder un village entier et lui faire faire n’importe quoi, voire… perdre la mémoire). C’est sur ce type de croyance fortement enracinée que les indiens Maxis quittent temporairement leur village chaque année pour éviter que le « Temps cyclique » des énergies du village ne passe pas à 0 comme ils le fît en l’an 2000, étrangement… Ces réalités mystiques apparaissent le ciment de la culture Maxis. »

 

LES PREMIERS SIMéRINDIENS : LA CULTURE KALIOUKTE.

-10.000 avant Jésus-Christ

Les peuples présimlandais, malgré l’étendue de terres qui s’offrent à eux, ne vont pas chercher particulièrement à s’étendre par rapport aux autres peuples du sous-continent.

En effet, dans la région de Thoulak, vers -10.000 avant Jésus-Christ sont enregistrées les traces d’une culture en pleine expansion à cette époque: la culture Kalioukte. Relativement avancée, maîtrisant la poterie et basant son organisation sociale sur la religion, la culture Kalioukte tire ses originaires de la Sibériee comme l’attestent la parenté directe de leur langue avec les dialectes paléosibériens comme le tchouktche ou l'alutor.

L’existence du likoiane, une sorte de chamane-seigneur influent dans toutes les décisions des Kaliouktes, est le signe distinctif qui différencie l’indien présimlandais du véritable simérindiens, ici représenté par sa première manifestation sous forme de l’indien Kalioukte « paléo-simérindien ».


 

A gauche, la broche d’un likoaine en forme de Rennes (art Kaliokte, -12.000) qui montre l’importance (et la richesse) du chamane dans les traditions sociales des Kaliouktes.


 


 

Professeur Urbäl Ketkte, spécilaiste de la culture Kaliouktes :

« On ne peut dire que les villages Kaliouktes étaient centrés sur le pouvoir religieux mais l’ensemble de leur vie était basé dessus : être Kaliouktes, cela signifie « être l’Homme, un avec Dieu (ou le Grand Esprit ». En effet « Kalioukte » signifie « Käl – ‘ouK – éteu » (l’Esprit uni avec l’Autre) et l’origine du mot sibérien est lié a kalouke « saint, divin ». En somme, le Kalioukte est (à ses propres yeux) le garant de la foi sur Terre… Aujourd’hui, chez les quelques tribus qui restent de cette culture ont relativement perdu leur lien avec la tradition mais les habitudes sociales comme la politesse marque cette singularité lorsqu’une demande tout à fait personnelle voire égoïste s’appuie de la formule de bienséance « tu sais que tu le fais pour moi donc pour Dieu ».


LA PREMIERE CIVILISATION DU SIMLAND : LES MAYENS

- 5.000 avant Jésus-Christ

Après des décennies de sédentarisation et un développement technique rapide, la région du Mao voit apparaître la première civilisation de Simland : les Mayens et la civilisation qui leur est liée directement, la civilisation þúsundfljót.

Le þúsundfljót est un royaume dont les premières traces remontent à -15.000 avant Jésus-Christ. Ce n’est pour l’instant qu’un ensemble de grands villages (voire de ville à partir de -8.000 avant Jéus-Christ) fonctionnant sur un système féodal centralisé autour du prince et du lieu antique des « Milles Rivières »
A gauche, un récent site archéologique þúsundfljót dans le Continental State (-5.500). Les premières constructions de temples, d’habitations. Un système d’irrigation et la présence de bains publics


La culture þúsundfljót  (ou « civilisation Mao ») entretient très rapidement dès -7.500 avant Jésus-Christ des relations commerciales avec les peuples indigènes du Thulak, comme l’attestent la présence de monnaie battue, à l’effigie de princes Mayens ou de scènes quotidiennes de Mao.
A partir de vers -5000 avant Jésus-Christ, l’accroissement des techniques et de la population est tel que les premiers habitants du Mao voient leur expansion s’étendre jusqu'au Continental State où une partie des Mayens partent coloniser et développer paisiblement des terres nouvelles, organisant dans les villages agricoles et les cités marchandes une dépendance politique aux royaume Mayen.
A gauche, une monnaire représentant un prince Mayen sur son char (-3.000). La civilisation mayenne est une succession de princes illustres qui étendent leur influence dans l’ensemble du Simland entre -4.000 et -1.000 avant Jésus-Christ.
La civilisation þúsundfljót est la première expérience d’organisation sociale complexe et son apogée marque l’Antiquité de Simland, jusqu’à l’arrivée des premiers Germains dans le Nord et l’installation progressive de nombreux Inuits.
Mikael Déchaud, auteur de l’ouvrage  « Les Princes Mayens, ou l’antiquité au Simland »
« L’origine des Mayens (ou plus rigoureusement celle de la culture þúsundfljót)  remonte facilement au Xème millénaire avant Jésus-Christ, s’inscrivant ainsi au même patrimoine mondial que celui la Civilisation de l’Indus (-8000) ou celui des Sumériens de Babylone (-6.000). La civilisation à proprement parlée (où le terme « Mayen » devient l’appellation commune des peuples d’origine þúsundfljót) apparaît et est réellement consolidée vers -3.500 avant Jésus-Christ : la civilisation mayenne est, dans son apogée, contemporaine des pyramides d’Egypte. Cependant, même si le foyer éthnique simlandais offrait beaucoup de possibilités, notamment grâce à la richesse de ses terres, le développement rapide de la civilisation Mayenne apparaît être une exception dans les valeurs pacifiques de l’ensemble des populations simlandaises »
Au maximum de leur hégémonie, les Mayens peuplent le Bassin de Simland, le Mao, une partie du Thoulak et le Grand Nord, rivalisant avec les populations présimlandaises ou simérindiennes pour s’accroître l’apanage des terres cultivables.
Loin des tumultes des villes modernes de Simland, perdurent encore des traditions séculaires entre la Terre et les Hommes, l’Histoire et la Connaissance. Partagés entre un passé chargé de sagesse et un avenir incertain, nombre de ces cultures et de ces peuples antiques de Simland sont en quête de paix et de sérénité.
FIN

J’espère que vous avez passé une bonne fin de soirée en notre compagnie… Vous pouvez retrouver cette émission en intégralité sur Internet à l’adresse http://simjaitun.over-blog.com et sur le site officiel de SimTimes, évidemment. Je vous souhaite une très bonne fin de soirée et je vous invite à nous retrouver très prochainement pour le deuxième numéro de « Notre Histoire», consacré aux indiens du Middle West.
« NOTRE HISTOIRE : MIDDLE WEST, TERRE DES INDIENS ».
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